Les Clavecins

de

Chartres

 
 

Partenaires

Partenaires artistiques

 

Conservatoire à rayonnement départemental de Chartres

Direction Michel Bienaimé

Etablissement spécialisé d’enseignement artistique, le conservatoire a pour mission première d’offrir une formation musicale ou chorégraphique. Ce service culturel municipal inspecté pédagogiquement par le Ministère de la Culture, est ouvert à tous et propose des formations individuelles, des pratiques collectives et des classes à horaires aménagés.

Inauguré en 2004 par le Ministre de la Culture, Le Conservatoire  de Musique et de danse de Chartres à été labellisé Conservatoire à Rayonnement Départemental (CRD) par le Ministère de la Culture et de la Communication en 2006. Il se doit de proposer une formation complète en musique et danse, en conciliant une volonté de démocratisation et d’ouverture avec une exigence de qualité pédagogique.

Outre sa mission de formation, le CRD mène une action d’animation de la vie musicale et chorégraphique locale dans le cadre de sa programmation des Vendredis du conservatoire, mais aussi par le biais de concerts d’élèves, d’auditions ou de Master classes.

 

Maîtrise du CRD de Chartres - Direction Philippe Frémont

En créant en 1992 sa Maîtrise, en partenariat avec l’Education Nationale, la ville de Chartres a renoué avec une tradition héritée du Moyen-Âge. Son répertoire très diversifié comporte des œuvres profanes et sacrées, toutes époques confondues.

Elle est dirigée, depuis sa création, par Philippe Frémont et accompagnée au piano par Murielle Richard-Petit. Elle est formée d’un chœur d’enfants en classe à horaires aménagés qui ont gagné la médaille d’or au concours international de chant choral à Vérone en 2005. Le Prix spécial du Jury pour le meilleur chef de chœur a été attribué à Philippe Frémont.

Des adultes peuvent venir compléter cet ensemble pour l’interprétation de certaines œuvres. La Maîtrise a enregistré divers disques dont le prochain sera consacré à la création de la « Cantate pour la paix en Europe » d’Alexandre Benéteau sur un livret de Sobhi Habbch